je ne sais pas, à vrai dire, je n'ai plus aucun contact avec ma famille depuis que j'ai quitté le cocon familiale. peut-être que ma mère serait fier de moi.. oui sûrement. mes parents n'ont jamais cru en moi, et en ma réussite. ils sont toujours cru que j'était un bon à rien, qui ne fera rien de sa vie, à part glander devant la télévision ou encore à draguer tout ce qui bouge.  

i am free ! enfin. je décrirai ma vie comme un jeu, au quel j'adore jouer. maintenant, je vis ma vie comme je le souhaite, avec personne sur le dos, plus les parents sur le dos pour te dire quoi faire. le bonheur. j'aime ma vie d'aujourd'hui et je ne regrette pas d'être partit de chez mes parents. loin de là.  

j'ai beaucoup d'amis, mais la plupart d'entre eux reste avec moi pour mon physique. pathétique. et la plupart sont des amies, ahah. mais je n'ai pas besoin d'amies pour vivre, ni pour m'amuser mais si vous demandez à des gens qui me connaissent, ils diraient de moi que je suis un vrai bisounours, qui raffole des câlins et des bisous.

je n'ai jamais eu de relations sérieuse, seulement des conquêtes d'un soir, et cela ne me déplaît pas. je ne suis pas encore prêt d'être en couple, je veux profiter de la vie, et ne pas avoir des responsabilité sur le dos alors que je n'ai que vingt et un ans.

peut-être le jour ou je suis partit de jeonju pour venir m'installez à la capitale, ahah. je rigole. - oupas - hum.. le jour ou j'ai gagné une des plus grande compétitions de danse dans mon collège, je crois que c'était le plus beau jour de ma vie, enfin je ne crois pas , c'était le plus beau jour de ma vie. je suis arrivé premier de ma catégorie d'âge, les 13-14 ans, de mon collège, et c'est après ça que j'ai décidé de devenir prof' de danse. je ne vais pas tout vous raconter, mais c'était une immense compétition, réunissant trois collège de la régions. mon collège était loin d'être riche, il était qualifié comme "miteux" et "pauvre" et les trois autres était de grand collège, riche et incroyable ou la plupart des collègiens allait sûrement devenir avocat ou médecin. tout le monde nous croyais faible, et ils se croyait supérieur à nous parce qu'ils était bourré de friques. mais après ça, ils n'ont plus ouvert leurs bouches pour nous critiquez, a non.  

« hé tapette viens là. »
cette phrase. cette voix. je frissonnait rien qu'en l'entendant. je savait qui m'avait interpeller, l'une des brutes du lycée d'en face. je savait ce qui allez suivre, ça se passait à chaque fin de cours, à la sortie du collège. à cette époque, je n'avais que 12 ans, je n'était qu'un gamin sans défense, qui se laissait frapper sans broncher. je m'avançait donc vers eux, la tête baisser, ne voulant pas affrontez leurs regards sombre et leurs sourire dessinait sur leurs lèvres. j'avais peur, terriblement peur mais je ne pouvais rien faire contre eux, ils faisait d'eux fois ma taille et trois fois mon poid. j'était devant eux, tremblant déjà. à vrai dire, je n'ai jamais su pourquoi ils me frappait, peut-être pour le plaisir qui sait. brusquement, l'un deux attrapa mes cheveux et les tira en arrière, laissant échapper un couinement de douleurs d'entre mes lèvres. ils se mirent à rire devant moi, comme si ça les amuses de me frapper, ce qui n'était pas totalement faux. je sentait sa main ressérait l'emprise sur mes cheveux, me faisant tomber au sol. je tremblait de plus en plus, la peur me broyait les entrailles. pourquoi moi ? la chance ne me connait pas. je sentait les larmes coulaient sur mes joues, rougis par le froid. celui qui m'avais interpellé me donna un coup de pied dans les côtes, un puis deux puis trois, je ne comptait même plus, les autres aussi s'y était mis tout en riant, content d'eux. après plusieurs minutes de souffrance, les coups s'arrêtèrent. enfin. je pu reprendre ma respiration qui se faisant difficile. ils partirent, me laissant seul, sur le sol froid de la ruelle. je restait comme ça pendant dix bonne minutes, avant de me levez, et de rentrer chez moi, à contre-coeur.

une fois rentré, je me précipitait d'allez dans ma chambre, m'enfermez dans celle-ci, allant directement me coucher, montant la couverture jusqu'à mon menton, essayant de trouver le sommeil. seul ma chambre pouvais me protéger, mon père rentrer tard et je le voyais très peut, et ma mère ne s'occuper pas de moi, seulement de mon frère qui était plus âgée que moi. mais je savais que ma mère m'aimait au fond. puis, je m'endormit après cette journée merdique.